Historiquement tournée vers la polyculture, comme en
témoignent les traces persistantes de moulins à eau et moulins
à vent, l’agriculture se spécialise. L’occupation des sols se
partage entre élevage, cultures céréalières, maraîchage et
viticulture, en fonction des qualités de terrain. Globalement
la vigne reste cantonnée aux zonages AOC sur les reliefs
et hauteurs et ne couvre pas leur intégralité. Les fonds
humides, quant à eux sont plus largement occupés par des
prairies consacrées à l’élevage extensif. Le secteur des marais
estuariens proftant d’un sol plat, et de grandes étendues, est
utilisé comme substrat pour les cultures céréalières (maïs,
fourrages...). En partie centrale, notamment le long de la
vallée de la Livenne, les terrains alluvionnaires sablonneux
sont orientés vers la culture de l’asperge, production locale
spécifque, encore bien présente.